Après avoir crevé l’écran dans le bouleversant 120 battements par minute, le jeune acteur est aujourd’hui à l’affiche du brillant Au Revoir là-haut, où il est tout aussi remarquable.
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C’est dans un lieu presque magique qu’on s’est donné rendez-vous. Dans un hôtel caché du 11e arrondissement de Paris, une porte discrète nous ouvre celle d’un film qui va beaucoup faire parler de lui. Au milieu de décors de l’entre-deux-guerres, la silhouette de Nahuel Pérez Biscayart se dessine dans l’encadrement d’une porte.
À tout juste 31 ans, l’acteur argentin, révélé au grand public français par 120 battements par minute de Robin Campillo, est le nouvel acteur fétiche du cinéma tricolore. En l’espace de quelques mois, ce jeune homme originaire de Buenos Aires a su conquérir le cœur des spectateurs de l’Hexagone.
Aujourd’hui à l’affiche du dantesque Au Revoir là-haut d’Albert Dupontel, le jeune acteur montre, une nouvelle fois, l’étendue de son talent. Les premières critiques du film sont dithyrambiques et Nahuel Pérez Biscayart pourrait bien se voir décerner les plus prestigieuses récompenses. Pour satisfaire notre curiosité et celle de nos lecteurs et lectrices, nous avons décidé d’aller à la rencontre de celui qui porte déjà l’étiquette de révélation de l’année.
“Jouer m’a permis de me découvrir, de comprendre qui j’étais”